Jour 40 de 100 Jours de Blog
Le billet d’aujourd’hui est consacré aux modèles de vol d’oiseaux. Il convient d’avoir atteint le cap des 40 jours, alors que nous semblons parcourir notre compte à rebours pour le 100e anniversaire de Protection des oiseaux du Québec! Les modèles de vol sont un excellent outil à utiliser pour aider à identifier un oiseau et méritent d’être rappelés avec tous les autres détails sur une espèce.
10 Schémas de vol d’oiseaux communs
#1. Vol direct – De nombreuses espèces, notamment des canards, des hérons, des oiseaux de rivage et des merles, volent en ligne droite et de plain-pied tout en battant continuellement leurs ailes.
#2. Rabat et glisse – Les corbeaux, les hiboux et les faucons font généralement une pause dans le battement d’ailes en planant et en glissant.
#3. Glisse – Les martinets et les hirondelles glissent afin de parcourir une distance sans battre.
#4. Hawking – Cette technique consiste à voler et à monter d’un perchoir, puis à revenir dans un mouvement circulaire. Ceci est utilisé par les moucherolles et les parulines pour chasser les insectes « sur l’aile ».
#5. Planant – L’oiseau apparaît comme s’il planait en place. Les colibris peuvent le faire à volonté grâce à une articulation d’épaule flexible unique qui permet à l’oiseau de créer une portance pendant la course de haut en bas. D’autres oiseaux, tels que les crécerelles, les martins-pêcheurs et les pétrels-tempête peuvent survoler brièvement en volant dans le vent.
#6. Envol statique – Les faucons et les vautours volent en rond et planent sur leurs longues et larges ailes.
#7. Formation en ligne droite – Les pélicans, les flamants roses, les cormorans et certaines grues volent en ligne droite en formation alors qu’ils sont bas au-dessus de l’eau.
#8. Vol ondulé – Cela décrit une sorte de style de montagnes russes où l’oiseau bat des ailes pendant la phase ascendante, puis glisse en descendant dans la vallée de la vague. Les pics et les pinsons peuvent être vus en utilisant ce style de vol.
#9. Formation V – C’est probablement le modèle le plus reconnaissable, utilisé par les oiseaux migrateurs tels que les ge, les canards et les cygnes. Le troupeau est disposé en V, chaque oiseau légèrement plus haut que l’autre pour profiter de la portance générée par le vortex en bout d’aile de l’oiseau devant lui. L’oiseau de tête et les positions extérieures de la formation sont les plus difficiles physiquement, de sorte que les membres du troupeau se relaient à ces positions pour aider à économiser l’énergie.
#10. Les bécassines en zigzag et les tétras volent de haut en bas dans un chemin quelque peu triangulaire. Cela peut être vu lorsqu’un oiseau est rincé et tente d’échapper aux prédateurs.