Douleur chronique: Diagnostic ou Syndrome infirmier?

PROBLÈME. Explorer l’existence d’un modèle de diagnostics infirmiers qui représente un syndrome de douleur chronique.

MÉTHODES. Les diagnostics infirmiers de 68 patients oncologiques et de 46 patients non oncologiques souffrant de douleur chronique ont été soumis à des analyses univariées et multivariées. Les diagnostics classés au-dessus du 75e centile, sans association avec l’étiologie de la douleur, et présentant un schéma dans les analyses en grappes et une mise à l’échelle multidimensionnelle ont été acceptés comme composants possibles du syndrome de douleur chronique.

RÉSULTATS. Les composants possibles du syndrome de douleur chronique étaient des troubles du sommeil, une constipation ou un risque de constipation, des connaissances déficientes, une mobilité physique altérée et de l’anxiété / peur.

CONCLUSIONS. Bien qu’un modèle de diagnostics ait été proposé, la confirmation nécessitera d’autres études et l’exploration de l’utilité clinique du concept de douleur chronique en tant que syndrome.

IMPLICATIONS PRATIQUES. Des compétences accrues dans l’évaluation et la compréhension de la douleur chronique peuvent entraîner de meilleures stratégies de soulagement.

Douleur chronique : Diagnostic infirmier ou syndrome ?

PROBLÈME. Explorer l’existence d’un regroupement de diagnostics infirmiers représentant le syndrome de douleur chronique (SDC).

MÉTHODES. Les diagnostics infirmiers présents chez 68 patients cancéreux et 46 patients non‐cancéreux, souffrant de douleur chronique furent soumis à des analyses unidimensionnelles et multidimensionnelles. Les diagnostics qui furent retenus comme composantes possibles du SDC se situaient au dessus du 75e percentile, n’étaient pas associés à l’étiologie et représentaient un ensemble dans les analyses de regroupement et l’échelle multidimensionnelle.

RÉSULTATS. Les composantes possibles du SDC furent perturbation des habitudes de sommeil, constipation ou risque de constipation, manque de connaissances, altération de la mobilité et anxiété/peur.

CONCLUSIONS. Même si un schéma de diagnostics infirmiers a été proposé, il faudrait encore entreprendre plusieurs recherches et explorer l’utilité clinique du concept syndrome de douleur chronique, avant de confirmer la pertinence de ce syndrome.

IMPLICATIONS PRATIQUES. L’amélioration de l’évaluation et de la compréhension de la douleur chronique peut conduire à de meilleures stratégies pour soulager la douleur.

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PROBLÈME. Explorez l’existence d’un diagnostic de maladie qui représente un syndrome de dor chronique.

MÉTHODES. Diagnostic de la maladie de 68 patients atteints d’oncologie chronique et de 46 patients atteints de foram oncologique chronique soumis à des analyses univariées et multivariées. Les diagnostics positionnés au-dessus du 75e centile, sans association avec l’étiologie de la douleur et présentant un schéma d’analyse en grappes et une mise à l’échelle multidimensionnelle ont été acceptés comme composants possibles du syndrome de douleur chronique.

résultats. Les composantes possibles du syndrome de douleur chronique étaient: trouble du rythme du sommeil, constipation ou risque de constipation, déficit de connaissances, mobilité physique altérée et anxiété / peur.

conclusions. Bien qu’un schéma diagnostique ait été proposé, sa confirmation nécessite d’autres études et l’exploration de l’utilité clinique de la conceptualisation de la douleur chronique en tant que syndrome.

IMPLICATIONS PRATIQUES. L’amélioration de la compréhension et des compétences dans l’évaluation de la douleur chronique peut entraîner de meilleures stratégies de soulagement.

douleur chronique : diagnostic ou syndrome de l’infirmière?

problème. Explorez l’existence d’un schéma diagnostique de soins infirmiers qui représente le syndrome de douleur chronique (SDC).

méthodes. Les diagnostics infirmiers de 68 patients cancéreux et de 46 patients non cancéreux souffrant de douleur chronique ont été soumis à une analyse variable et multivariée. Les diagnostics supérieurs au 75e centile, non associés à l’étiologie de la douleur et présentant un schéma groupé au moment de l’analyse et à l’échelle multidimensionnelle ont été acceptés comme composantes possibles de la DDC.

RÉSULTATS. Les composants possibles de la SDC étaient une modification du sommeil, une constipation ou un risque de constipation, un déficit de connaissances, un trouble de la mobilité physique et une anxiété / peur.

CONCLUSIONS. Bien qu’un modèle de diagnostics ait été proposé, la confirmation nécessitera d’autres études et une exploration de l’utilité clinique du concept de douleur chronique, en tant que syndrome.

IMPLICATIONS POUR LA PRATIQUE. L’amélioration de la capacité d’évaluer et de comprendre la douleur chronique peut entraîner des améliorations dans les stratégies de soulagement.

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