Médicaments BCS de classe IV: candidats hautement notoires pour le développement de la formulation

Les médicaments BCS de classe IV (par exemple, amphotéricine B, furosémide, acétazolamide, ritonavir, paclitaxel) présentent de nombreuses caractéristiques qui posent problème pour un accouchement efficace par voie orale et par voie orale. Certains des problèmes associés comprennent une faible solubilité aqueuse, une faible perméabilité, une absorption erratique et médiocre, une variabilité inter et intra-sujet et un effet alimentaire positif significatif qui conduit à une biodisponibilité faible et variable. En outre, la plupart des médicaments de classe IV sont un substrat pour la glycoprotéine P (faible perméabilité) et un substrat pour le CYP3A4 (métabolisme pré-systémique étendu), ce qui potentialise davantage le problème du faible potentiel thérapeutique de ces médicaments. Il y a dix ans, les exemples extrêmes de composés de classe IV étaient une exception plutôt que la règle, mais aujourd’hui, de nombreux candidats médicaments en cours de développement entrent dans cette catégorie. La formulation et le développement d’un système d’administration efficace pour les médicaments de classe IV du BCS sont des tâches herculéennes pour tout formulateur. Les obstacles inhérents posés par ces médicaments entravent leur traduction sur le marché réel. L’importance de la composition et de la conception de la formulation pour le développement réussi du médicament est particulièrement illustrée par le cas de la classe IV du BCS. Pour être cliniquement efficaces, ces médicaments nécessitent le développement d’un système d’administration approprié à la fois par voie orale et par voie orale. Les formes posologiques orales idéales doivent produire à la fois une biodisponibilité raisonnablement élevée et une faible variabilité d’absorption inter et intra-sujet. En outre, les systèmes idéaux pour la classe IV de BCS devraient produire une concentration thérapeutique du médicament à des volumes de dose raisonnables pour l’administration intraveineuse. Cet article met en évidence les différentes techniques et stratégies à venir qui peuvent être utilisées pour le développement de médicaments très notoires de classe IV du BCS. Certaines des techniques utilisées sont les systèmes d’administration à base de lipides, les nanocarriers à base de polymères, l’ingénierie cristalline (nanocristaux et co-cristaux), la technologie des liquisolides, les dispersions solides auto-émulsionnantes et diverses techniques abordant le problème de l’efflux de P-gp. La revue se concentre également sur les obstacles au développement clinique des stratégies susmentionnées, tels que les problèmes de mise à l’échelle, la fabrication selon les directives cGMP, les tests de contrôle de qualité appropriés, la validation de divers processus et variables, etc. Il met également en avant l’absence actuelle de lignes directrices réglementaires qui pose des difficultés lors des tests précliniques et cliniques pour la soumission d’une NDA et sa commercialisation ultérieure. Aujourd’hui, l’industrie pharmaceutique dispose d’une série de stratégies de formulation fiables et évolutives pour les médicaments de classe IV du BCS. Cependant, en raison du manque de compréhension de la chimie physique de base derrière ces stratégies, le développement de la formulation est toujours motivé par des essais et des erreurs.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

More: