Texte

La bataille de Maldon

Manuscrit : British Library, MS Cotton Otho A.xii (détruit par un incendie en 1731). Le texte imprimé de Thomas Hearne (1726) est resté jusqu’à récemment la seule source connue pour le poème. CA. En 1935, une transcription du MS Cotton de John Elphinston a été trouvée à Oxford, MS Bodleian Rawlinson B 203. La date de la composition est incertaine, mais sur des preuves linguistiques, Scragg place le poème tel que nous l’avons à la fin du xe ou au début du XIe siècle (28). Éditions : Dobbie, Elliot Van Kirk, éd. Les Poèmes Mineurs Anglo-Saxons. RSAP 6. New York : Columbia UP, 1942. Scragg, D. G., éd. La bataille de Maldon. Manchester: Manchester UP, 1981. Dans le but de revoir les critiques antérieures du poème, l’édition de 1937 d’E. V. Gordon, rééditée en 1976 avec un supplément par Scragg, est des plus utiles.

Les hyperliens vers les annotations sont ajoutés en ligne dans le texte, entre crochets en gras. Voir aussi mes notes sur la bataille de Maldon.

would serait cassé.
Puis il ordonna à chaque jeune homme
de laisser son cheval, de le conduire loin,
et de sortir, l’esprit tourné
vers des mains fortes et de bonnes pensées.5
Puis le parent d’Offa découvrit pour la première fois
que le grand comte ne souffrait d’aucun relâchement;
il laissa de sa main, puis, un être cher voler,
faucon au holt, et il se mit au combat.
On pouvait donc savoir que le garçon ne souhaitait pas10
s’affaiblir à la guerre, lorsqu’il a saisi des armes.
Et quant à lui, Eadric suivrait son prince,
son seigneur au combat ; il enfanta, alors,
la lance au combat. Il avait une bonne pensée
tant qu’il pouvait tenir avec les mains 15
planche et épée brillante: sa vantardise, il l’a exécutée
quand au combat il est venu avec son seigneur.

Puis Byrhtnoth commença à y rassembler des hommes,
monta et donna des conseils, enseigna aux guerriers
comment ils devaient se tenir debout et tenir la place, 20
leur ordonna que leurs boucliers ronds tiennent correctement
vite avec les mains, pas du tout effrayés.
Quand il eut assez rangé ce folk,
il descendit parmi eux là où cela lui plaisait le plus,
là où il connaissait son groupe le plus fidèle.25

Puis sur la berge se tenait un messager viking,
appelé vigoureusement, parlait avec des mots,
apportait avec vantardise la course des marins
au comte de cette terre où il se tenait à terre:
« Les marins m’ont envoyé rapidement vers vous, 30
m’a ordonné de vous dire d’envoyer des anneaux à la fois,
richesse pour la défense: mieux pour vous tous
que vous avec hommage cette ruée vers la lance renoncez
que nous partageons une guerre si amère.
Nous n’avons pas besoin de nous entretuer si vous l’accomplissez; 35
pour de l’or, nous établirons une trêve avec vous.
Si vous le déterminez, le plus puissant ici,
que vous payerez pour votre peuple une rançon –
donnez aux marins de leur choix
la richesse pour une trêve et prenez la paix de nous – 40
nous, avec ce paiement, devons à nos navires,
sur le prix de l’océan, gardons la paix avec vous. »

Byrhtnoth parlait, levait le bouclier,
secouait une lance de frêne mince, avec des mots parlés,
en colère et un esprit lui répondait: 45
« Écoutez-vous, marin, ce que dit ce peuple?
Lances vous donneront-elles, des lances de cendres en hommage,
pointe empoisonnée, vieille épée –
une armure-taxe inutile pour vous en temps de guerre.
Messager des marins, reprenez la parole; 50
racontez à votre peuple une histoire bien plus détestable:
qu’ici se trouve un bon comte avec sa bande de guerre,
qui défendra cette patrie,
La terre d’Æthelred, la terre de mon prince,
folk and fold. Au combat, maintenant, 55
païens doivent tomber. Trop honteux, il semble
que vous, sans avoir été acheté, alliez au navire
portant nos richesses, maintenant que jusqu’à présent
vous êtes entrés dans notre pays.
Pas si doucement vous emporterez des richesses: 60
point doit, et bord, nous réconcilier d’abord,
sombre jeu de bataille, avant que nous ne rendions hommage. »

Il leur a demandé de prendre le bouclier puis, allez
pour que les guerriers se tiennent tous sur la berge.
Une bande ne pouvait pas aller vers l’autre pour l’eau: 65
il y avait l’inondation qui coulait après la marée descendante;
les cours d’eau étaient bloqués. Trop longtemps, il semblait
jusqu’à ce qu’ils puissent porter des lances ensemble.
Avec tumulte, ils se tenaient le long du ruisseau de Pante,
le van des Saxons de l’Est et l’armée des cendres ;70
aucun ne pourrait porter préjudice à l’autre,
mais ceux qui, par la fuite en avion, ont pris la mort.

Le déluge s’est éteint. Les marins se tenaient prêts,
beaucoup de Viking, avides de guerre.
A ensuite demandé au protecteur des hommes de tenir le pont75
un héros endurci par la guerre – il s’appelait Wulfstan–
qui, avec sa lance, tua le premier homme
qui, le plus hardi sur le pont, marchait.
Là, avec Wulfstan, se tenaient des guerriers intraitables,
Ælfere et Maccus, braves twain, 80
qui ne voulaient pas au travail de vol à gué,
mais rapides contre les démons se défendaient,
alors qu’ils pouvaient manier des armes.
Quand ils ont perçu et vu clairement
qu’ils y trouvaient les quartiers de pont amers,85
ces étrangers répugnants ont commencé à utiliser la ruse,
ont demandé un débarquement libre, un passage à terre,
pour passer au-dessus du gué menant les troupes à pied.

Puis le comte pour son arrogance
laissa trop de terres à un peuple hostile.90
Puis, au-dessus de l’eau froide, le fils de Byrhthelm
commença à appeler (les hommes écoutaient):
« Maintenant, vous avez de la place: venez vite à nous,
guerriers à la guerre. Dieu seul sait
qui peut maîtriser ce champ de bataille. »95

Abattage – Les loups pataugent alors, n’écoutent pas l’eau ;
la bande Viking, à l’ouest de Pante,
au-dessus de l’eau vive, porte leurs boucliers ;
les marins débarquent à tilleul.
Là, contre la colère, Byrhtnoth se tenait prêt, 100
entourés de guerriers. Il leur a demandé avec des boucliers
de construire la haie de combat, de tenir cette troupe
rapide contre les ennemis. Ensuite, le combat était proche,
gloire au combat. Le temps était venu
où les hommes de fey devaient y tomber.105
Clameur y a été élevée. Corbeaux encerclés,
aigles avides de charognes. Il y avait un tumulte sur terre.
Des mains puis ils ont libéré des lances à lime;
les lances au sol ont volé.
Les arcs étaient occupés; le bouclier prenait la pointe de lance.110
Amer cette ruée vers la bataille! Des guerriers sont tombés;
de chaque côté, des jeunes hommes gisaient.
Blessé était Wulfmaer, choisi le lit d’abattage,
parent de Byrhtnoth; il était avec des épées,
sa sœur-fils, mal taillée.115
Là aux Vikings on a donné la récompense:
J’ai entendu qu’Eadweard en tuait un
férocement avec l’épée, ne retenant pas son balancement,
qu’à ses pieds un guerrier fey tombait;
pour cela son seigneur le remercia, 120
son tonneau – thegn, quand il le pouvait.
Alors les penseurs robustes se tenaient fermes,
jeunes hommes au combat, rivalisaient avec impatience
qui, avec une pointe de lance, pourrait le plus tôt
dans la vie de l’homme de fey, conquérir là-bas, 125
guerrier avec des armes. Tué est tombé sur terre.
Inébranlables ils se tenaient. Byrhtnoth les a dirigés,
a demandé à chaque jeune homme de réfléchir à la bataille,
qui contre les Danois gagnerait la gloire au combat.

Puis l’un d’eux a marché, au combat acharné, a levé son arme, 130
son bouclier pour se défendre, et contre cet homme a marché.
Alors le comte se dirigea vers le churl:
soit vers un autre mal destiné.
Puis lança au guerrier de la mer une lance du sud
pour que wounded soit le seigneur du guerrier.135
Il a poussé puis avec un bouclier pour que l’arbre éclate –
la lance s’est cassée et a surgi en arrière.
Enragé était ce guerrier: il a piqué avec une lance
le fier Viking qui lui a donné la blessure.
Sage était ce guerrier fyrd : il laissa sa lance wade140
à travers le cou du jeune, la main la guidait,
pour qu’elle atteigne la vie chez le ravageur.
Puis il tira un autre coup rapide
pour que le byrnie éclate; il fut blessé au sein
à travers le courrier verrouillé par l’anneau; en lui au cœur se tenait145
point empoisonné. Le comte était le blither:
le brave homme rit alors, dit merci à Metod
pour le travail de jour que Dieu lui a donné.
Puis un certain guerrier laissa une fléchette de la main
voler de sa main, de sorte qu’elle sortit150
à travers ce noble, le thegn d’Æthelred.
À ses côtés se tenait un jeune non cultivé,
un garçon dans la bataille, qui, vaillamment
tira de l’homme la lance sanglante,
le fils de Wulfstan, Wulfmaer le Jeune.155
Il laissa revenir l’arbre tempéré:
la pointe s’enfonça de sorte qu’il était sur la terre
qui avait si gravement atteint son seigneur.
Un homme armé se rendit alors chez le comte:
il voulut aller chercher la richesse de ce guerrier – 160
butin et anneaux et épée ornée.

Puis Byrhtnoth tira son bec de sa gaine,
large et à bords brillants, et frappa contre byrnie.
Trop vite, un des marins l’arrêta
lorsqu’il entailla le bras du comte.165
Puis au sol tomba l’épée à poignée en jachère,
il ne pouvait pas non plus tenir une lame dure,
manier une arme. Alors pourtant, cette parole parla
ce combattant enroué, encouragea les jeunes hommes,
leur ordonna de sortir en bonne compagnie.170
Il ne pouvait plus rester ferme à pied ;
il regarda vers le ciel :
« Je te remercie, Manieur de peuples,
pour toutes ces joies que j’ai eues dans le monde.
Maintenant, moi, doux Mesureur, j’ai le plus besoin175
que tu accorde à mon esprit la bonté,
que mon âme voyage maintenant vers toi,
dans ton maniement, Seigneur des anges,
parte en paix. Je te supplie
qu’aucun épouvanteur de l’enfer ne lui fasse du mal. »180
Puis des païens le taillèrent,
et les hommes qui s’étaient tenus à ses côtés,
Ælfnoth et Wulfmaer, tous deux gisaient là,
lorsqu’ils étaient proches de leur seigneur, ils donnèrent leur vie.

Puis ils se sont détournés de la bataille qui souhaitait ne pas être là: 185
il y avait les fils d’Odda les premiers en vol:
Godric se détourna de la bataille et laissa ce bon
que beaucoup de chevaux lui donnaient souvent.
Il sauta sur un cheval que possédait son seigneur,
sur ces pièges où il n’avait pas le droit, 190
et ses frères coururent tous les deux avec lui,
Godwin et Godwig, n’écoutèrent pas la bataille
mais se détournèrent de cette guerre et les bois cherchèrent,
s’enfuirent à cette stabilité, leurs vies sauvées,
et plus d’hommes qu’il n’en convenait 195
s’ils se souvenaient tous de ces faveurs
qu’il avait faites pour leur profit.
Ainsi Offa, plus tôt ce jour-là, lui avait dit
au lieu de la méthode, lorsqu’il tenait la discussion,
que beaucoup parlaient hardiment là-bas200
qui après, au besoin, ne supporteraient pas.
Puis fut déchu le prince du peuple,
comte d’Æthelred. Tous y virent,
ses compagnons de foyer, que leur seigneur était couché.
Puis de vaillants thégns s’y allèrent, 205
hommes intarissables se hâtèrent avec empressement:
ils désiraient tous, alors, l’une des deux choses –
quitter la vie ou venger un être cher.
Alors le fils d’Ælfric les a soutenus,
des paroles de jeunes guerriers d’hiver ont parlé,210
Ælfwine a parlé alors, dit vaillamment:
« Rappelez-vous les discours que nous avons prononcés à mead,
lorsque nous nous glorifions sur le banc,
héros dans le hall à propos d’un combat acharné:
maintenant, je peux tester qui est vif. 215
Je ferai connaître à tous ma noblesse,
que j’étais de grande parenté parmi les Merciens;
mon vieux père Ealhhelm s’appelait,
aldorman sage, heureux du monde.
Ni parmi le peuple, les gns ne me blâmeront 220
que je veuille fuir de cette fyrd,
chercher chez moi, maintenant que mon prince gît
taillé au combat. Ce mal est le plus pour moi:
il était à la fois mon parent et mon seigneur. »
Puis il sortit, conscient de la bataille, 225
avec une pointe de lance percée,
un marin parmi les gens, qu’il couchait sur le pli,
détruit avec son arme. Il exhorta ses amis, amis et compagnons, à aller de l’avant.
Offa répondit, secouant le bois de frêne: 230
« En effet, vous, Ælfwine, avez tous les thegns
exhortés au besoin. Maintenant que notre seigneur ment,
comte sur terre, nous avons tous besoin de
que chacun de nous enhardit l’autre,
guerrier à la guerre, alors que l’arme may235
a encore et tient, lame dure,
lance et bonne épée. Nous Godric a,
Le fils craven d’Odda, complètement trahi.
Quand il montait à cheval, sur un fier destrier,
trop d’hommes pensaient que c’était notre seigneur.240
C’est pourquoi ici sur le terrain le peuple était divisé,
bouclier-défense brisé. Échouez à ses débuts!
depuis qu’il a tant d’hommes mis en fuite. »
Leofsunu a parlé et son tilleul a levé,
bouclier pour la sécurité; à Offa il a dit:245
« Je le jure, c’est pourquoi je ne fuirai pas d’un pied, mais avancerai,
vengerai dans la lutte mon seigneur ami.
Les héros inébranlables n’ont pas besoin de me reprocher
avec des mots autour de Sturmere, maintenant mon ami est tombé, 250
que je suis rentré chez moi sans seigneur,
s’est détourné de la bataille; mais l’arme doit me prendre,
pointe de lance et fer. »Il s’est mis en colère,
s’est battu vigoureusement, il a rejeté la fuite.
Dunnere prit la parole puis, brandissant une fléchette, 255
l’humble baratte appelée,
ordonna que chaque homme vengeait Byrhtnoth:
« Il ne peut pas broncher, qui pense venger
son seigneur parmi les gens, ni par peur pleurer. »
Puis ils s’en allèrent, ne reprirent rien de peur.260
Les serviteurs de la maison commencèrent à se battre vigoureusement,
féroces porteurs de lance, et prièrent Dieu
qu’ils vengent leur ami seigneur,
et qu’ils fassent un travail de chute sur leurs ennemis.
L’otage commença à les aider avec empressement ;265
il était de braves parents parmi les Northumbriens,
fils d’Ecglaf ; Æscferth était son nom.
Il n’a pas bronché au combat,
mais a encore et encore tiré une flèche:
parfois il tirait contre un bouclier, parfois un homme déchirait;270
jamais et jamais il infligeait une blessure
alors qu’il pouvait manier des armes.

Alors, dans le fourgon, Eadweard se tenait le Long,
prêt et impatient, des mots vantards parlaient,
qu’il ne fuyait pas un espace de terre,275
se penchait du tout en arrière quand son meilleur repos était tué.
Il brisa le mur de bouclier et se battit avec ces guerriers,
jusqu’à ce que sur ces marins son donateur de richesses
il s’étendit dignement, avant qu’il ne repose avec les tués.
Ætheric, noble compagnon, 280
impatient et impatient, combattit avec ardeur,
le frère de Sigebyrht, et beaucoup d’autres,
bouclier de cellod de clou de girofle, les défendit vivement.
La jante du bouclier a éclaté, et le byrnie a chanté
une chanson terrible. Puis Offa à la battle285
a frappé le marin, qu’il est tombé sur terre,
et là, le parent de Gadda a cherché du terrain.
Rapidement au combat Offa a été taillé;
il avait, cependant, poursuivi ce qu’il avait promis à son seigneur,
comme il se vantait auparavant avec son donateur d’anneaux, 290
qu’ils devaient tous les deux rentrer chez eux à burg
hale ou au combat,
sur le champ de cadavres avec des blessures périssent.
Il coucha le seigneur, près de lui.

Ensuite, il y a eu l’affrontement de shield. Matelots avancés, 295
brûlant de rage au combat. Lance souvent percée à travers
l’âme-maison d’un fey. Puis, Wistan,
fils de Thurstan, combattit des guerriers.
Il était en foule le fléau de trois d’entre eux,
avant que le fils de Wig(h)elm ne soit tué avec lui. 300
Il y a eu une rencontre difficile. Ils ont tenu bon,
guerriers en conflit. Les guerriers tombèrent,
fatigués de blessures. Les morts sont tombés sur terre.
Oswold et Eadwold pendant tout ce temps,
ces deux frères ont fortifié les hommes, 305
avec des mots enjoignant à leurs parents-amis
de supporter au besoin,
d’utiliser des armes sans faiblesse.
Byrhtwold prit la parole, leva son bouclier –
c’était un vieux serviteur – secoua sa lance de cendres;310
il enseigna hardiment aux guerriers:
« La pensée doit être la plus dure, le cœur plus vif,
l’esprit doit être le plus grand, tandis que notre force diminue.
Voici notre prince tout taillé,
bon sur le grain. Il peut toujours pleurer315
qui de ce jeu de guerre pense maintenant à se retourner.
Ma vie est vieille: Je ne partirai pas;
mais moi-même à côté de mon seigneur,
par un homme si aimé, je pense mentir. »
Alors le fils d’Æthelgar les enhardit tous, 320
Godric au combat. Souvent, il a laissé la lance,
lance-massacre, accélérer dans ces Vikings;
ainsi, parmi les gens, il est allé le premier,
taillé et humilié, jusqu’à ce qu’il tombe au combat.
(Ce n’était pas le Godric qui a fui la bataille.)325
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Copyright de la traduction © 1982, Jonathan A. Glenn. Tous droits réservés.

Il nous manque jusqu’à trois feuilles au début du poème et quelque chose comme une feuille à la fin.

bataille. Le poème utilise une variété de mots – certains synonymes évidemment complets, d’autres indiquant des nuances de sens – pour la guerre / bataille / combat: beadu, beaduræs, (ge) feoht, garræs, guðplega, hild, wig, wigplega, (ge) win. Il est clair que NE n’offre pas cette gamme de différences sonores et de signification subtile.

aussi longtemps hold tenir. Cette formule (et ses variantes) fonctionne tout au long du poème, indiquant la dévotion complète des guerriers au seigneur et à la terre. tableau

. OE bord est l’un des nombreux mots utilisés dans le poème pour « bouclier.’

quand lord seigneur. Littéralement, « quand il devait se battre devant son seigneur », c’est-à-dire qu’il était tenu par la loi d’effectuer son service militaire.

place. Comme dans homestead; le mot signifie « lieu.’

foyer. OE heorðwerod  » le corps des serviteurs domestiques « , c’est-à-dire, ses disciples personnels se distinguant du folc (voir Scragg 21-22 pour une qualification de l’importance de cette distinction).

vantard. OE on beot peut aussi signifier  » menaçant.’

renoncer. OE forgyldon ‘foryield’ (pour lequel voir l’OED) ou ‘buy off.’

bien. Cela se traduit par OE unforcuð ‘honorable, honorable, noble, courageux, non gâté.’

pli. OE folde ‘ terre, terre.’

tumulte. Scragg glose ce tableau, la force militaire.’

armée des cendres. De l’OE æschere, ici traduit littéralement, Gordon note: « la force d’ici ou de raid des æscas, navires typiquement scandinaves construits en bois de frêne. Le mot OE est une anglicisation de ON askr. L’askr était le navire de guerre scandinave habituel…. »Dans la poésie OE, le mot æsc signifie le plus souvent « cendre (-lance).’

flane-flight. OE flanes flyht ‘ vol d’une flèche. »

étrangers répugnants. Les invités détestés d’OE laðe gystas.’

arrogance. OE ofermod, le mot le plus discuté du poème. Une grande partie de la discussion critique du poème au cours des cinquante dernières années a été consacrée à se demander si le poème considère Byrhtnoth comme blâmable pour son action.

trop de terrain. OE landes à fela. Tolkien a fait valoir que cela signifiait que Byrhtnoth n’aurait dû céder aucune terre aux Vikings.

champ de bataille. Lieu du cadavre d’OE wælstowe.’

tilleul. Les boucliers étaient souvent en bois de tilleul. La poésie OE désigne souvent des objets par synecdoque: æsc pour les lances en bois de frêne, lind pour les boucliers en bois de tilleul, rond pour les boucliers ronds, etc.

colère. OE gramum ‘ féroce, en colère (ceux).’

Corbeaux carri charognes. C’est le motif traditionnel des Oiseaux (ou des Bêtes) de bataille. Souvent, un wulf est également mentionné. Voir Beowulf 3024-27.

sol flew volé. La ligne est défectueuse dans l’original. Les éditeurs ont fourni grimme ‘grim’ au début de la première demi-ligne pour des raisons métriques.

lance du sud. C’est-à-dire, du sud (anglais ou français) make (Gordon).

guerrier fyrd. Le fyrd était le prélèvement national ou l’armée, ou toute expédition militaire.

Métod. Allumer. « mesureur  » (c.-à-d., sort).

facture. C’est le terme original ici et varie apparemment simplement swurd. Voir le Glossaire de Stone sur la Construction, la Décoration et l’utilisation des Armes et des Armures (1924; rpt. New York: Jack Brussel, 1961) pour sa désignation plus exacte de l’une des familles de bras de mât.

Il manque une demi-ligne ici.

méthel-place. Le terme signifie « lieu de parole, chambre du conseil.’

sans objet. Réunion, conseil, assemblée.’

lay. C’est-à-dire, lay tué.

vif. OE cene ‘ brave.’

vieux-père. Le grand-père d’ealda fæder.’

échevin. OE ealdorman désigne un noble du plus haut rang.

au besoin. OE à þearfe’ au besoin; pour (leur) bien; pour (ce) besoin.’

Échoue son commencement. OE abreoðe son angin’ que son commencement échoue’, c’est-à-dire « que sa conduite ait une fin maléfique » (Gordon).

est tombé. OE gecranc, un mot bien meilleur (au moins plus fort) que NE est tombé pour un désastre au combat.

baratte. OE ceorl ‘freeman, yeoman, paysan.’

automne. OE fyl ‘ chute, mort, destruction.’

sérieusement. OE eornoste ‘ sincèrement, courageusement.’

cellod. Personne ne sait ce que ce mot signifie. Bosworth-Toller le fait briller en forme de bouclier.’

une chanson terrible. OE gryreleoðe sum ‘ une certaine des chansons terribles.’

burg. OE burh. Probablement la résidence principale de Byrhtnoth; peut-être Maldon lui-même (Gordon).

hale. Un adjectif, comme dans « hale et copieux. »

choc. OE gebræc, peut-être ‘ rupture.’

La pensée less diminue. Probablement les lignes les plus célèbres en OE et, par conséquent, encore plus difficiles que d’autres à traduire de manière satisfaisante. Le texte OE se lit comme suit:  » Hige sceal þe heardra, heorte þe cenre, / mod sceal þe mare, þe ure mægen lytlað. »

Ma vie est vieille. Allumer. « Je suis vieux de (ou en ce qui concerne) la vie.’

humilié. OE hynde ‘ écrasé, abattu, insulté, humilié.’

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